Le Détective Public...

La Météo

Avant de m'aventurer dans cette forêt dense, humide et impitoyable, j'allai consulter deux éminents docteurs qui justement par pur hasard voulaient faire des recherches dans cette forêt sub-tropico-amazonienne.

Je traversai le mont Ticule pour entrer dans la terrible forêt en compagnie du Dr D. K. Lé et son confrère Dr. Gaston Dieudonné Poux communément appelé G. D. Poux. Leur recherche de l'arbre qui portait les branches qui indiquaient la température pour pouvoir s'en servir lors de leur prochain voyage.

Durant ce père iple dans la forêt nommée: Déus Ska Pousse, on a rencontré l'agent Malarmé qui lui était sur la piste d'un maraîcher de mari. Nous décidons de l'accompagner dans cette promenade.

Lors de notre randonnée le Dr. D.K. Lé entre en forêt dense car il avait cru apercevoir des traces suspectes. Il s'enfargea dans un mono log et le temps de le dire, il se ramasse dans un buisson rempli de framboises et plus il avance, comme des tantes à cules, les branches s'accrochent et lui la serrent les jambes. Dr. D.K. Lé lacet ra de se décoler.

Le Dr. G.D. Poux que les mouches tsé tsé ne cessent de harceler, vole avec sa machette pour porter secours à son confrère.

Après plusieurs tantes hatives le Dr. D.K. Lé se lit ber des ronces qui lui collent à la peau des jambes déjà ensanglantées. Avec l'éclaircie que le Dr. G.D. Poux a fait avec la machette, on découvre l'emplacement de la culture de mari.

Alors l'agent Malarmé dégaine sa mite railleuse et le met sous arrêt. Il s'agit d'Yvan Dubois propriétaire de cette vaste étendue de culture.

Pendant ce temps grâce à mon flair reconnu comme infaillible, j'ai découvert l'arbre météorologique et nous avons rapporté descend taine de branches dont j'appris à me servir pour mes futures données métérologiques.

À la sortie de la forêt, on s'en pressa de se rendre dans un C.L.S.D. pour faire soigner les jambes du Dr. D.K. Lé. C'est l'infirmière Mlle Chilon de son prénom Dia qui s'en occupa et elle lui fournit même un analgésique sous forme de cigarette pour soulager sa douleur et lui dit "vade in pace" et ne retourne plus au framboises.

Cécile, Jacqueline et Roger


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